L’événement intralogistique attire un nombre de visiteurs constamment élevé. Cette année un total de 65.719 professionnels du secteur (versus 2024 : 67.420) étaient présents pendant ces trois jours. « LogiMAT 2025 a quasiment égalé le record de fréquentation de l’année dernière, malgré les grèves dans les aéroports et les transports en commun aux alentours », se réjouit le directeur du salon, Michael Ruchty. Une analyse menée par l’institut d’études de marché indépendant Wissler & Partner de Bâle a révélé que la moitié des professionnels visiteurs (49,9%) avaient un pouvoir de décision au sein de leur entreprise et que 36,4% étaient présents avec des projets d’investissement précis en tête. Par secteur, 55% des visiteurs provenaient du secteur manufacturier et 11,2% du commerce de gros et de détail. Plus de 40% des visiteurs ont parcouru plus de 300 km pour y assister, dont 23,1% venaient de l’étranger et près de la moitié (9,4%) d’Asie, d’Afrique et des Amériques. Le voyage le plus long a été effectué par les participants australiens. « Outre le caractère strictement expo de l’événement, le succès de LogiMAT repose sur les compétences relationnelles fondamentales de notre concept », affirme Michael Ruchty. Le forum de carrière et de réseautage (LogiMAT Campus), aurait largement contribué à ce succès lors de la dernière journée du salon. « LogiMAT Campus a été lancé l’année dernière pour élargir la gamme d’outils de recrutement proposés aux exposants et ouvrir les portes d’une carrière dans la logistique aux candidats qualifiés », explique Michael Ruchty. « Sur le nouvel emplacement du Foyer ICS, les exposants ont manifesté leur intérêt. » LogiMAT Campus a accueilli 16 exposants qui ont pu dialoguer avec des professionnels en herbe, des opportunités de carrière dans leurs entreprises. « Grâce aux retours globalement positifs des professionnels du secteur et des exposants, LogiMAT s’est imposé comme un baromètre des nouvelles tendances, une plateforme de réseautage et un salon professionnel sur la scène internationale », conclut Michael Ruchty. JPG
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