Generix a interrogé 211 décideurs français des grandes entreprises et ETI sur leur pratique de la facturation électronique et leur préparation à la réforme fiscale 2026-2027. Il en ressort que les taux d’équipement et d’utilisation progressent mais l’objectif d’avoir 100% de factures en format structuré semble inatteignable sans l’obligation réglementaire à venir. En parallèle, les entreprises sont de plus en plus volontaristes et soucieuses de procéder le plus rapidement possible à des tests de validation en amont de l’échéance. Face à une prise de conscience collective de la complexité de la réforme, les entreprises expriment davantage le besoin d’être accompagnées, en particulier par les futures PDP et sociétés de conseil. Alors que 73% des entreprises étaient prêtes pour les échéances de la réforme fiscale dès 2023, elles sont aujourd’hui 81% à l’être. Elles profitent du report de la réforme pour ajouter à leur mise en conformité des objectifs complémentaires, comme l’automatisation des processus de facturation, dans près de 70% des cas, ou la mise en place d’une plateforme couvrant plusieurs pays, dans plus de 40% des cas. « Cette réforme fiscale ambitieuse représente un effort de standardisation sans précédent. La réforme est complexe à mettre en œuvre, mais elle facilitera l’interopérabilité des échanges ainsi que la productivité des entreprises, tout en réduisant drastiquement la fraude fiscale », explique Christophe Viry, Product & Marketing Director de Generix. JPG
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