Depuis début 2024, l’entrée en vigueur de l’ETS maritime a généré une vague de surfacturations. Dès 2026, l’extension aux secteurs aérien et, surtout, routier risque de multiplier ces surcoûts. Selon Philippe Mangeard, président de TK’Blue, ce risque de surfacturation se chiffrerait en centaines de milliers, voire en millions d’euros par an. Face à ce défi, TK’Blue lance ETS-Monitor, une solution dédiée au contrôle et à l’optimisation des surcharges carbone liées aux systèmes ETS (Emission Trading System) sur le transport maritime, aérien et routier. L’outil permet une vérification automatique de chaque ligne de facturation carbone, grâce à l’exploitation des données réelles de transport (intensités niveau 3, ISO 14083, MRV, IATA). Il Identifie et supprime des surcoûts injustifiés ce qui se traduit immédiatement par des économies substantielles : toujours selon TK’Blue, de l’ordre de plusieurs centaines de milliers d’euros pour les flux maritimes, et jusqu’à plusieurs millions d’euros sur l’ETS routier dès 2027. « En mesurant précisément leurs émissions de GES et en pilotant les leviers de réduction, les chargeurs peuvent non seulement limiter les surcoûts fiscaux, mais aussi renforcer leur image et leur compétitivité. Le ROI est immédiat : moins d’émissions, moins de surcoûts, plus de performance », indique Philippe Mangeard. Un Livre Blanc exclusif pour tout comprendre et agir À l’occasion de ce lancement, TK’Blue met à disposition des décideurs son nouveau Livre Blanc « Fiscalité du transport : comprendre et maîtriser les surcharges carbone ETS1 (maritime) et ETS2 (routier) ». Ce guide pratique décrypte les mécanismes réglementaires, les pièges des surfacturations et donne toutes les clés pour transformer l’obligation carbone en avantage compétitif. JPG
Photo : Philippe Mangeard
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